Andris Vanins

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Philippescu
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Andris Vanins

Beitragvon Philippescu » 17.06.16 @ 20:13



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blanco
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Re: Andris Vanins

Beitragvon blanco » 18.06.16 @ 10:35

Herzlich Willkommen!! Guter Transfer, vorallem gut für meine Nerven. Eine weitere Saison mit unseren jetzigen Fliegenfängern würde ich nicht vertragen
fat hat geschrieben:Es wird noch 2,3 Stunden dauern, da die Mannschaft in einer weiteren basisdemokratischen Abstimmung selbst ihren neuen Coach wählt. Das läuft jetzt so beim Fcz. Danach wird noch abgestimmt ob man bei diesem Sauwetter überhaupt draussen trainieren soll.

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Deepblue
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Re: Andris Vanins

Beitragvon Deepblue » 20.06.16 @ 9:54

Willkommen beim FCZ!
Ich arbeite so geheim, dass ich selber nicht weiß was ich tue.
Wenn etwas im Leben sicher ist, dann das, dass wir alle nicht lebend rauskommen
oder vielleicht doch nicht? https://www.youtube.com/watch?v=ZAz1GutJGbg

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fczlol
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Re: Andris Vanins

Beitragvon fczlol » 20.06.16 @ 16:54

Herzlich Willkommen beim FCZ und in der schönsten Stadt der Welt! Endlich wieder ein TW, welcher sich mit Recht Nr. 1 nennen darf. Ich traue ihm noch mindestens 2 Saisons auf SL - Niveau zu. Auch wenn wir davon eine in der ChL spielen müssen. Dafür darf er nochmals in die EL!
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fischbach
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Re: Andris Vanins

Beitragvon fischbach » 21.07.16 @ 12:08

Interview mit Vanins im «Le Nouvelliste»

«Je n’en veux ni au FC Sion ni à Constantin»

Le gardien letton tourne sereinement sept ans de vie commune avec le club valaisan pour apprivoiser son nouveau quotidien au FC Zurich.

Les gardiens vivent souvent des sorties délicates au FC Sion. Stefan Lehmann en fait l’expérience en 1997 après neuf saisons de vie commune. Son départ du club valaisan s’opère par une porte dérobée après avoir conquis le doublé Coupe et championnat en quatre jours. Sans adieux officiels ni bouquets fleuris. Dix-neuf ans plus tard, Andris Vanins tombe aussi le maillot en toute discrétion après sept championnats en rouge et blanc. Le Letton, relégué en numéro deux durant le printemps, sauve un salut riche d’émotions au public de Tourbillon lors de l’avant-dernière journée de championnat. Un an de contrat le lie encore au FC Sion à ce moment-là et son avenir s’écrit en point d’interrogation. Cette incertitude n’existe plus. Son présent se construit à Zurich où il s’est engagé pour trois ans avec le FCZ.

Andris Vanins, comment vous retrouvez-vous en Challenge League sous le maillot du FC Zurich?

Ma position face au FC Sion était claire. Je ne voulais pas rester comme gardien numéro deux. Quelles auraient été mes perspectives à 37 ans après une saison sans compétition? Lorsque l’offre de Zurich est arrivée, je n’ai pas hésité. Rester en Suisse était une priorité. Le pays offre une qualité de vie incroyable à ma famille. Nous ne voulions pas l’abandonner.

Quitte à renoncer à la première division…

Ne dites pas que le FC Zurich est un club de Challenge League. Il a gardé les standards de la Super League. Depuis mon arrivée, je ne vois aucune différence avec le FC Sion. L’encadrement, dont bénéficient les joueurs à tous les niveaux, permet de se concentrer uniquement sur le foot. Vous sollicitez une interview lors d’un jour de congé. Malgré cela, quelqu’un se déplace pour nous ouvrir le centre d’entraînement et pour vous accueillir. J’ai vécu deux semaines à l’hôtel avant de trouver un appartement, le club a réglé tous les repas. La seule différence que j’ai perçue pour l’instant est le temps nécessaire pour se rendre d’un endroit à l’autre sur la route. Le trafic est plus dense à Zurich qu’à Martigny. Et pas seulement aux heures de pointe.

Avez-vous craint de ne pas pouvoir quitter le FC Sion avec lequel vous étiez lié pour une saison encore?

Les deux ou trois premières discussions avec Christian Constantin n’ont pas été faciles. Il me disait tout le temps «je veux que tu restes comme deuxième gardien». Michel Urscheler, mon conseiller, a joué un rôle essentiel pour arracher la décision.

En voulez-vous à Christian Constantin de ne plus porter le maillot du FC Sion?

Je n’en veux ni au président ni au club. Je ne peux être fâché qu’avec moi-même. Je suis le seul responsable de cette situation. Mes efforts ne m’ont pas permis de conserver le niveau de performance nécessaire pour garder ce maillot. Un proverbe russe dit «chaque chose qui arrive dans la vie te rend plus fort et ton futur sera meilleur». Voilà comment j’interprète mon changement de club.

Vous donnez l’impression que rien ne peut vous énerver ou vous contrarier…

J’ai été fâché plusieurs fois à Sion, mais ce qui se passe dans le vestiaire y reste.

Avez-vous définitivement opéré la transition entre le Valais et votre nouveau milieu de vie?

Le sentiment était un peu bizarre au début. C’est normal. Sept ans de vie, sept ans exceptionnels ne se biffent pas en quelques jours. Depuis mon premier entraînement à Zurich, je suis retourné quatre fois en Valais, notamment pour préparer les cartons en vue du déménagement. Il y en a beaucoup après un bail de cette durée. J’ai également rendu visite à l’équipe pour la saluer après un entraînement.

L’incertitude sur votre futur ne vous a pas permis de prendre congé de manière aussi directe avec le public du stade de Tourbillon…

Oui, mais je profite de cet entretien pour remercier tous les supporters du FC Sion. Leur soutien envers moi a été fantastique de la première à la dernière minute de mes années vécues en Valais. Les sollicitations n’ont jamais cessé. Ils voulaient un maillot, une paire de gants ou partager une photo. Ces témoignages de reconnaissance m’ont toujours beaucoup touché, ils m’ont donné de la force. J’étais partagé entre deux sentiments lorsque je me suis rendu vers le public pour le saluer lors du dernier match de championnat à Sion. C’était prenant et très fort.

Avez-vous toujours des contacts avec des membres du FC Sion?

Je parle encore régulièrement au téléphone avec Marco Pascolo, mon entraîneur, ou Félix Volken, l’intendant. Si je pouvais effectuer un transfert du FC Sion au FC Zurich, c’est lui que je choisirais. Il est incroyable. Il avait toujours à disposition ce dont j’avais besoin, un maillot, des cuissettes, des bas ou n’importe quelle pièce de matériel que je réclamais.

ted mosby
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Re: Andris Vanins

Beitragvon ted mosby » 21.07.16 @ 13:31

fischbach hat geschrieben:Interview mit Vanins im «Le Nouvelliste»

«Je n’en veux ni au FC Sion ni à Constantin»

Le gardien letton tourne sereinement sept ans de vie commune avec le club valaisan pour apprivoiser son nouveau quotidien au FC Zurich.

Les gardiens vivent souvent des sorties délicates au FC Sion. Stefan Lehmann en fait l’expérience en 1997 après neuf saisons de vie commune. Son départ du club valaisan s’opère par une porte dérobée après avoir conquis le doublé Coupe et championnat en quatre jours. Sans adieux officiels ni bouquets fleuris. Dix-neuf ans plus tard, Andris Vanins tombe aussi le maillot en toute discrétion après sept championnats en rouge et blanc. Le Letton, relégué en numéro deux durant le printemps, sauve un salut riche d’émotions au public de Tourbillon lors de l’avant-dernière journée de championnat. Un an de contrat le lie encore au FC Sion à ce moment-là et son avenir s’écrit en point d’interrogation. Cette incertitude n’existe plus. Son présent se construit à Zurich où il s’est engagé pour trois ans avec le FCZ.

Andris Vanins, comment vous retrouvez-vous en Challenge League sous le maillot du FC Zurich?

Ma position face au FC Sion était claire. Je ne voulais pas rester comme gardien numéro deux. Quelles auraient été mes perspectives à 37 ans après une saison sans compétition? Lorsque l’offre de Zurich est arrivée, je n’ai pas hésité. Rester en Suisse était une priorité. Le pays offre une qualité de vie incroyable à ma famille. Nous ne voulions pas l’abandonner.

Quitte à renoncer à la première division…

Ne dites pas que le FC Zurich est un club de Challenge League. Il a gardé les standards de la Super League. Depuis mon arrivée, je ne vois aucune différence avec le FC Sion. L’encadrement, dont bénéficient les joueurs à tous les niveaux, permet de se concentrer uniquement sur le foot. Vous sollicitez une interview lors d’un jour de congé. Malgré cela, quelqu’un se déplace pour nous ouvrir le centre d’entraînement et pour vous accueillir. J’ai vécu deux semaines à l’hôtel avant de trouver un appartement, le club a réglé tous les repas. La seule différence que j’ai perçue pour l’instant est le temps nécessaire pour se rendre d’un endroit à l’autre sur la route. Le trafic est plus dense à Zurich qu’à Martigny. Et pas seulement aux heures de pointe.

Avez-vous craint de ne pas pouvoir quitter le FC Sion avec lequel vous étiez lié pour une saison encore?

Les deux ou trois premières discussions avec Christian Constantin n’ont pas été faciles. Il me disait tout le temps «je veux que tu restes comme deuxième gardien». Michel Urscheler, mon conseiller, a joué un rôle essentiel pour arracher la décision.

En voulez-vous à Christian Constantin de ne plus porter le maillot du FC Sion?

Je n’en veux ni au président ni au club. Je ne peux être fâché qu’avec moi-même. Je suis le seul responsable de cette situation. Mes efforts ne m’ont pas permis de conserver le niveau de performance nécessaire pour garder ce maillot. Un proverbe russe dit «chaque chose qui arrive dans la vie te rend plus fort et ton futur sera meilleur». Voilà comment j’interprète mon changement de club.

Vous donnez l’impression que rien ne peut vous énerver ou vous contrarier…

J’ai été fâché plusieurs fois à Sion, mais ce qui se passe dans le vestiaire y reste.

Avez-vous définitivement opéré la transition entre le Valais et votre nouveau milieu de vie?

Le sentiment était un peu bizarre au début. C’est normal. Sept ans de vie, sept ans exceptionnels ne se biffent pas en quelques jours. Depuis mon premier entraînement à Zurich, je suis retourné quatre fois en Valais, notamment pour préparer les cartons en vue du déménagement. Il y en a beaucoup après un bail de cette durée. J’ai également rendu visite à l’équipe pour la saluer après un entraînement.

L’incertitude sur votre futur ne vous a pas permis de prendre congé de manière aussi directe avec le public du stade de Tourbillon…

Oui, mais je profite de cet entretien pour remercier tous les supporters du FC Sion. Leur soutien envers moi a été fantastique de la première à la dernière minute de mes années vécues en Valais. Les sollicitations n’ont jamais cessé. Ils voulaient un maillot, une paire de gants ou partager une photo. Ces témoignages de reconnaissance m’ont toujours beaucoup touché, ils m’ont donné de la force. J’étais partagé entre deux sentiments lorsque je me suis rendu vers le public pour le saluer lors du dernier match de championnat à Sion. C’était prenant et très fort.

Avez-vous toujours des contacts avec des membres du FC Sion?

Je parle encore régulièrement au téléphone avec Marco Pascolo, mon entraîneur, ou Félix Volken, l’intendant. Si je pouvais effectuer un transfert du FC Sion au FC Zurich, c’est lui que je choisirais. Il est incroyable. Il avait toujours à disposition ce dont j’avais besoin, un maillot, des cuissettes, des bas ou n’importe quelle pièce de matériel que je réclamais.


und was sagt er da? :)
tehmoc hat geschrieben: Leute mit Allianznamen können mich kreuzweise.
...
Anstand bedeutet für mich auch, dass man Leute nicht mit seinem Kacknamen nervt.

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eifachöppis
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Re: Andris Vanins

Beitragvon eifachöppis » 21.07.16 @ 13:58

ted mosby hat geschrieben:und was sagt er da? :)


War bei Sion nur noch Nr. 2, wollte unbedingt in der Schweiz bleiben, auch wegen der Familie. Geniesst die hohe Lebensqualität in der Schweiz.
Hat mit Constantin mehrere Gespräche geführt. Ist froh, beim FCZ zu sein. Ist selber schuld, dass er in Sion nur noch Nr. 2 war, sagt, dass der FCZ was organisatorisches anbelangt, immer noch wie ein Super League Club agiert, sagt dies auch über die Qualität der Spieler. Hatte am Anfang Mühe mit dem Verkehr in Zürich, welcher auch ausserhalb der Stosszeiten nicht vergleichbar ist mit Martigny (wohl sein Wohnort im Wallis),.... Alles in allem ein gutes, ehrliches Interview.


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